Dans les Bois

Anacho contemplait son reflet dans le petit étang qui se trouvait le long d'un sentier. Il soupira de tristesse en se rapellant qu'il ne pouvait trainer son reflet avec lui.

" Dommage, mais il me reste tout de même mon ombre. "

Anacho n'avait pas de but réel et il cherchait un peu de piquant dans sa vie. Il décida que de quitter sa foret serait le mieux pour le moment. Il irait se valoriser en se tennant avec le reste des créatures plus laide se trouvant sur l'ile. Il lança un bout de bois dans les airs et emprunta la route que sa pointe indiquait.

À une modeste distance de là, Zephyr et Luna avaient établient camp. Or, quoique provisoir, celui-ci était, vu leurs expériences, très élaboré: petit feu entouré de pierres, lui-même cerné par deux souches d'arbre encore solides faisant office de banc, lit de branches de conifères recouvertes de larges feuilles vertes surplombé d'un refuge élaboré d'écorce fraîche, de plantes grimpantes et de branches de confières, etc.
Cependant, n'étant pas non plus experts en la matière, celui-ci était plutôt visible et il arrivait même que le toit de leur habitation s'effondre sur eux, les plongeant dans une mer d'aiguilles naturelles et désagréables.
Zephyr et Luna étaient donc tous deux présents sur le camp lorsque une présence se fit entendre très légèrement.
Le bruit arrêta.
Puis recommença, cette fois, plus discret.
Il était évident que la lumière de leur feu risquait d'attirer des visiteurs durant la nuit, ainsi que la senteur du poisson qu'ils avaient ingéré, gracieuseté de Luna. Mais même si poisson il n'y avait plus, et que le feu était mi-feu mi-braise, les chances d'avoir des invités de ce genre étaient encore très grandes.
La nuit était encore longue, mais c'est bruits, se rapprochant tranquillement, ne mettraient pas, au contraire, trop long avant de devenir menaçant. Cependant, Zephyr, qui était assis sur une des longues souches avec devant lui sa belle, assise sur le sol et avec lui sous sa cape, ne voulait guère la réveiller pour un animal rôdeur ou pour un gobelin qui s'effrayerait de leur présence.
Malgré tout, le fait que les bruits aient cessés durant un instant puis aient diminués trahissaient une intelligence plus grande que ces possibilités.
Il scruta donc la forêt autour de lui, toujours assis sur la souche. Ce qu'il trouva, et qui coordinait avec les sons se rapprochant toujours, était ridiculement brillant et visible pour ses yeux fins: Un elfe des plus reluisant qu'il soit.
Il avait bien envi de l'invité à partager le restant du feu avec lui, mais la vue de ses longs cheveux blancs dans sa vision lui fit repenser deux fois à son initiative.
Il tourna donc la tête vers la direction opposée de l'elfe pour cacher un sourire mocqueur, l'indiscretion de ce dernier en valant bien la peine.
Il ne réveillerait pas sa douce si celui-ci voudrait rebrousser chemin, mais si, lorsqu'il aura meilleur vue de ceux qui ont dompté cette flamme et que danger il n'y a pas, il faudrait la réveiller de son tendre sommeil pour qu'il ne la croit pas morte et lui, réceptacle du corbeau, un être noir de l'extérieur, le meurtier.

Un elfe se reposait dans une clairière non loin des deux amoureux. Une odeur attirante parvint à ses narines. Tarvithas releva doucement la tête. Son regard, dissimulé sous sa capuche, fixa le lointain en tentant de repérer la source de cette effluve. Cette senteur lui rappelait un bon daim juteux. Son estomac grognant, il se dirigea lentement en direction de sa proie. Il avait terriblement faim. Et cet elfe ne pouvait pas demeurer longtemps sans manger; il possédait tout de même un appétit d’ours. Des feuilles sèches au sol cassaient une fois que ses pieds les piétinèrent. Le bas de sa tunique frottait le sol, balayant toute nature morte sur son passage. Tarvithas se rapprochait lentement, mais sûrement de son but.
Enfin, ses yeux se posèrent sur la silhouette d’un daim aux allures merveilleuses. Il tenta de prendre sa lance à pointe de bois dans son carquois. Au dernier moment, il s’arrêta. Grâce à sa récente transformation, il pouvait chasser plus rapidement avec ses griffes. Mais un rictus de colère apparut sur ses lèvres; il détestait profondément cette magie qui avait ruiné sa vie et répugnait à se servir de ses griffes et ses crocs, excepté dans des moments importants. L’elfe considérait son estomac comme important. En passant aux orcs responsables de sa mutation, il bondit sans attendre sur le daim. Cette créature tomba sous ses griffes acérées. Tarvithas s’en régala.
En relevant le museau de son copieux repas, il entrevit à travers les branches des arbres une lueur. Cette lueur provenait sûrement d’un feu de camp. Espérant tomber sur un jeteur de sort, il s’avança, un sourire aux lèvres. Mais près du feu, il aperçut la silhouette de deux elfes et, au loin, un autre elfe s’approchait. Préférant attendre, Tarvithas se dissimula dans une souche, impatient de connaître les événements à venir.

Anacho avait appercu les lueurs du petit camp, cela lui fit penser qu'il n'avait pas prit le temps de souper et que une compagnie serait la bienvenue.

Il avanca donc d'un pas assuré vers la lumière ou il constata deux personnage. Il leva un sourcil critique en parcourant le campement du regard.

-Bonjour a vous. Ne soyez pas inquitet, je vien en paix. Je me demandais si je ne pouvais pas utiliser votre feu afin de réchauffer ma nourriture.

Sans vraiment attendre de réponse, Anacho prit place et attrapa un bout de viande salé qu'il approcha des braises.

-Je me nomme Anacho. Et bien que je sois plus riche et plus beau que vous, je tien a vous dire que vous avez l'air bien sympathique. Je suis à la recherche d'aventure, les affres du luxe eurent raison de ma personne et maintenant je cherche de la saveur a ma vie. Vous savez ce qui est triste d'être riche et beau? RIEN! Hahaha. J'aime bien cette blague. Je me demandais si vous pourez m'indiquer le chemin à suivre pour me changer les idées.

Anacho leva les yeux au ciel.

-J'aimerais trouver un trésors et pourfendre quelque barbare...

Zephyr sourit légèrement, quoique brièvement, en regardant le spectacle qu’était l’elfe. En fait, son comportement si typique, même si un peu exagéré, des elfes lui rappelait la maison, sa ville natale, où, d’ailleurs, il n’était pas allé depuis déjà longtemps. Oui, le couple passait par là souvent, pour recevoir les maigres récompenses d’efforts militaires hors de la Garde, mais Zephyr, lui, n’entrait jamais, car il se savait rejeté.
Entre ses cuisses et son torse, il sentit sa douce remuer un peu, comme si elle se réveillait doucement, mais elle ne fit que se serrer davantage sur lui puis cessa de bouger à nouveau.

-« C’est son ego qui t’incommode? » ria Zephyr sous son souffle, penché à l’oreille de Luna afin qu’Anacho n’entende pas.

Il releva sa tête, puis la secoua afin de déplacer une mèche de cheveux blancs entravant sa vision vu son mouvement précédent.

-« Anacho? Je suis Zephyr Senellyn et voici Luna Saralondë, ma femme. Nous sommes heureux de faire votre et connaissance autant que nous sommes heureux de vous avoir avec nous en ce moment. Enfin, je l’affirme pour nous deux, comme vous pouvez le constater. » dit Zephyr, décidant finalement de ne pas la réveiller malgré la présence de l’elfe.

Même si Zephyr ne faisait aucun geste particulier afin de s’introduire plus courtoisement, l’ensemble de son attitude respirait la courtoisie.

-« Pour notre part, bien, nous revenons tout juste d’un périple en bordure de Socka d’où nous avons rapporté les oreilles de nos victimes orques et gobelins ainsi que les armes et armure les plus potable de ceux-ci, nous limitant pourtant à ce que nous étions apte à porter. » Il indiqua un arbre près de leur gîte où reposait haches, épées et lance de tous les types et toutes les longueurs. « Anacho, si vous cherchez trésor ici, vous êtes au mauvais endroit, vous ne trouverez rien. Cependant, si affrontement vous cherchez, l’endroit idéal de cet ère est sans doute Socka. Pour vous y rendre, suivez l’aube demain. »

Il fit une pause, comme s’il réfléchissait.

-« Nous désirons nous rendre à Virgot demain. Si vous voulez, vous pouvez faire quelques lieues avec nous, histoire de rendre le voyage plus intéressant. »

-M'oui... oui je pourais bien faire le chemin avec vous. Virgot est sans aucun doute une ville pleine d'ambiance. Elle doit regorger de marin saoul qui s'étrippe pour une petite culotte, de pauvre diable qui dorment avec les cochons car il ne peuvent se payer une maison décente. Ou peut-être que ces malfrat se sentent simplement plus près du porc que de l'homme... Qui peut le dire, qui peut le dire?

Anacho passa en revu les armes sur l'arbre, les vetements des deux elfs et de leur campement.

-Votre métier semble en être un ou la propreté est négligé. Advenant un combat, je resterai a l'arrière garde et je donnerai les ordres. Je ne croiserai pas le fer avec ces choses et risquer de salire ma précieuse personne. Sur ce, si vous me le permettez, je vais dormir un peu. Tout ces émotions m'on fatigué, imaginez-vous donc que j'ai vu un cerf au cours de la journée, ce fut intéressant d'en voir un qui ne soit pas encore cuit et apprété...

Anacho tentait de tenir le crachoire encore, mais la fatigue gagnait sur lui.

La main de Zephyr se rendit d'elle-même à son visage, signifiant comment l'elfe le désespérait déjà, sans pour autant l'horripiler. Il poussa un audible soupir.

-"Mieux vaut fermer l'oeil, donc, ne croyez-vous pas?"

Il coucha donc Luna sur le sol, dos à la souche et posa sur elle sa lourde cape de laine grise-charbon, car il n'était malheursement innapte à transposter sa femme à cause de sa faible carrure d'elfe.

-"Et non. Hors de question que vous utilisiez le lit." annonça Zephyr brusquement, utilisant d'une certaine façon le dévoilement le plus total, ou presque, de son physique pour brusquer l'elfe.

-"De plus, vous me semblez bien plus frais et disponible que nous, vous n'avez jamais vraiment travaillé on dirait. Prenez donc le premier tour de garde et vous me remercirai plus tard de vos y avoir initié."

Il alla d'un pas gracieux en direction du petit refuge entra à moitié avant de se retourner et lancer:

-"Ah oui! j'oubliais! C'est en travaillant qu'on se sallit, alors attention de ne pas tacher vos vêtements.

Il marqua une pause, puis dit de façon ironique et, à la fois, provocatrice.

-"Notre hygiène est meilleure que vous croyez, les cours d'eau ne sont pas rares, mais faites-moi confiance, vous finirai aussi sales que nous, sinon, j'en ferai sorte.

Zephyr prit donc place dans le petit gîte et essayant tant bien que mal d'étouffer son rire.

Anacho ne trouva rien à ajouter, en fait oui, mais il était trop fatigué pour continuer.

-Un tour de garde? Ca n'a... aucun sens... je tombe de som...

Anacho etait vaincu et il savourait sa défaite, accoudé tant bien que mal à un arbre.

Tarvithas assista à l’étrange conversation entre les deux elfes. Ces derniers ne semblaient nullement être des jeteurs de sort; l’elfe à la peau sombre et sa femme devaient sûrement être de puissants guerriers pour avoir amassé une grande quantité d’armes. Quant à l’autre, il ressemblait à un elfe noble d’Ellendawë énormément imbu de lui-même. Finalement, deux elfes rejoignirent le confort de leur abri miteux et l’autre, pris au dépourvu, s’était accoudé contre un arbre. Ce dernier semblait ainsi prendre le premier tour de garde.
Une idée fit son apparition dans l’esprit de Tarvithas; il montrerait à l’elfe à craindre les créatures de la forêt. Lentement et sans faire de bruits, il s’avança en direction de la sentinelle tout en observant sa proie. Arrêtant derrière un arbre à proximité de l’étranger, il réfléchit à la meilleure façon de lui faire peur. Un rugissement lui donnerait une bonne frousse. En inspirant profondément, ses poumons se remplirent d’air. Sans attendre davantage, Tarvithas ouvrit la gueule et rugit aussi fort qu’il le pouvait.

Zephyr entendit le rugissement bestial de son sommeil léger, se réveilla brusquement et se précipita à l'extérieur du refuge. il dégaina d'un mouvement plus que fluide ses deux cimeterres, et il ne savait pas pourquoi il s'était couché sans les enlever d'ailleurs - certainement par manque de confiance quant à l'efficacité de la garde d'Anacho.
Il sortit en toute hâte afin d'assister Anacho contre cette quelconque menace qui ne trouva pas du premier coup d'oeil, c'est qui était étrangement, car le hurlement avait été poussé près d'ici, lui semblait-il. En cherchant, trop empressé pour remarquer Anacho, il imaginait ce dernier toujours au pied de son arbre, endormi malgré l'hurlement. D'ailleurs, toujours dans son imagination, son souffle léger, quoique légèrement audible, trahissait un sommeil un paisible malgré tout; S'il avait eu le temps, Zephyr savait que sa main s'aurait rendue d'elle seule à son visage, marquant le désespoir qu'il avait pour l'elfe. La possibilité était grande que ce soit le cas.

En un bon nerveux, comme propoulsé par un ressort, Anacho etait sur pied et chrechait à reprendre son souffle. Une fois ceci fait il dégaina sa rapière et chercha le d'ou avait pu provenir ce son.

-Enfin ce que j'attendais depuis tout ce temps : De l'excitation! Allez montre toi que je te coupe le bout du nez!

Il se tourna en direction de son compagnon également réveillé et dit tandis qu'un sourrir se dessinait sur son visage:

-Espérons qu'ils soient au moin 6! 3 chacun ca devrait etre un bon réchauffement!

Satisfait de son effet, Tarvithas ricana. Cet elfe qui se croyait supérieur avait bien eu une bonne frousse. En entendant les paroles de ce dernier, il décida de lui donner une bonne leçon. D’un bond, il quitta sa cachette et fit face aux deux hommes armés. Il s’entendait à ce que l’elfe endormi vienne voir le danger, mais rien ne l’avait préparer à son apparence. Sa peau était plus foncée que les elfes des villes; donc, ce dernier provenait probablement d’un lointain continent. Son compagnon ressemblait exactement à un elfe des villes, hautains et vantards.
Toujours dissimulé sous sa capuche, Tarvithas se questionnait intérieurement. Ces deux hommes ne pouvaient être simplement mis à mort sans aucune raison. D’une voix gutturale, l’elfe déclara:

-Votre sang ne touchera point le sol. Vous étiez simplement sur mon territoire de chasse.

Sans rien ajouter, Tarvithas se détourna et s’apprêta à s’enfoncer dans la forêt.

-Barbare! reprit Anacho. COmment ose-tu provoquer et ensuite t'en tirer comme ca? Vien donc ici que je t'offre une estafilade qui pourait peut-être rendre ton visage un rien plus acceptable!

Anacho adopta une pose propice au combat et fronça les sourcils. Un sourire provocateur, il reprit :

-A moin que vous soyez un couard, auquel cas, si vous pleurnichez, je vous laisserai partir.

Zephyr s'avança vers l'intrus d'un pas décidé mais prudent, lame devant, l'autre désormais rangée dans son fourreau. Avant que vaines excarmouches s'entâmes, il fit en sorte que son chemin le mène le plus près possible d'Anacho. D'un mouvement assez imprévisible, il posa une main sur la poitrine de l'elfe désormais derrière lui et le poussa sèchement afin qu'il chancelle ou qu'il recule assez pour éviter tout affrontement avec la... bête, ou bien était-ce un homme?

-"Anacho, rangez votre arme, vous risqueriez de vous blesser en tentant de jouer avec les jouets des grands, car il faut être bien petit pour chercher ainsi à vivre la vie." dit-il, utilisant les mots de ce dernier afin d'appuyer sa vérité, le regard fixé sur la silhouette encapuchonnée.

Il avança encore un peu, feignant l'assurance.

-"De tels gestes sont irrespecteux, de plus, cette terre ne vous appartiens pas plus qu'elle ne nous appartiens, alors énoncez vos intentions ou partez."

Anacho recula, mais fit montre d'un pas agile et ne chancela pas. Il revint ensuite et aggripa l'elf par la manche.

-Jouet de grand? Remetteriez vous mon expertise en doute? Si tel est le cas, je vous provoque en duel!

Zephyr dégaina la cimeterre qu'il venait de ranger pour la pointer, cette fois, en direction de Anacho.

-"Vous voulez rire?" ria-t-il, la tête à peine tournée afin de garder la majeure partie de son attention sur la véritable menace.

-Non point! Disons, au premier sang.

Anacho reprit sa position de tireur.

Les paroles, émises par l’elfe, provoqua une petite flamme de colère à l’intérieur de Tarvithas. Il se retourna prestement et s’avança d’un pas lourd vers les deux elfes. Décidé à ne pas laisser le dernier mot à l’elfe vantard, il lui répondit gravement:

-Si je suis un couard, alors je me demande ce que tu es, elfe des villes. Tu ne devrai pas chercher querelle aux personnes qui pourraient t’écraser comme une mouche.

En suivant les gestes de l’elfe à la peau foncé, il remarque que ce dernier n’était pas véritablement le compagnon de l’elfe de ville; il semblait que ceux-ci venaient simplement de se rencontrer par hasard, dans cette forêt. Cet elfe armé de cimeterre lui posa une question, mais Tarvithas ne put jamais répondre; son “compagnon” venait de le provoquer en duel. Tarvithas trouva la situation intéressante et choisit de reculer. Les piques des deux mâles lui parvinrent aux oreilles. Cela lui rappelait quelqu’un... mais qui? Voyant qu’il allait se battre, Tarvithas se positionna entre les deux hommes, une lance dans chaque main.

-Cela suffit! Ne faites pas couler inutilement le sang des elfes pour cette stupide querelle. Nous devrions ranger nos armes et discuter.

Zephyr avait suivit les mouvements de la brute et, comme ses deux "adversaires" se trouvaient désormais devant lui, ses deux lames pointaient dans la même direction. Même si l'envi de faire lui faire ravaler ses mots, à ce Anacho, était très grande, il ne baissait pas sa garde devant l'autre... elfe.
Il fit un pas de reculons.

-"Tout ceci et ridicule, Anacho, faites de vous un mâle! Et vous, énoncez vos intentions, je le répète, ou partez." redit-il, cette fois, d'un ton impatient.

Anacho ne sembla pas trouver anormale, l'intervention de l'étranger.

-Comment pourais-je laisser passer le commentaire qui a été dit! Qu'il rétracte ses paroles et je rengaignerai ma rapière! Je suis loin d'etre un elf violent, mais ma dignité est sacrée.

Il s'adressa ensuite a Zephyr

-Je fais de moi un mâle en luttant pour mon honneur. Vous auriez du choisir plus sagement vos mot. Ravalez vos parole ou battez-vous.

Zephyr baissa légèrement la tête de dépit.

-"J'ai le regret de vous dire que votre comportement enfantin me donne absolument raison"

Edit:

HORS-ROLEPLAY
THE OZZ, va voir tes Messages Personnels, pour ne pas créer de conflits, on discutera un peu pour la suite de l'histoire.

-Vous continuez, vous m'insultez sans y être provoqué. Je tien a ce que les affronts commi contre uen personne de mon rang soit réparé! Vous traitez d'enfant un homme qui lutte pour son honneur, qui etes-vous pour faire cela?.

-"Pardonnez-moi donc, Cher Anacho, je ne pouvais vous savoir un excrimeur si doué à la première vue. Je ne vous sous-estimerai plus, d'autant que je le puisse, désormais."

Il prit une posture davantage offensive.

-"Mais j'aimerais bien, de ce cas, comme vous nourrissiez ma main. Montrez-moi votre vigueur et votre précision." termina-t-il.

En un temps, ses deux lames sorties, il agrippa un pan de sa cape et tourna rapidement sur lui-même, sa cape se soulevant au visage de son adversaire, lui obstruant ainsi la vue l'espace d'un instant. Il tenta un coup en direction des jambes son tour terminé, un lame en position défensive, l'autre à la charge...

Anacho sentit la lame de son adversaire glisser sur sa botte de cuir, il n'avait pas eu le temps d'esquiver completement le coup, mais il n'Avait pas été blessé.

-Ha! Quel ogre! Vous n'avez même pas la courtoisie de commencer par "En Garde".

La riposte ne se fit pas attendre Anacho frappa de taille, mais c'était une feinte, la vrai attaque vint ensuite. Anacho tenta de frapper son adversaire au poignet.

D'un mouvement inné, la lame en position défensive se diriga pour parrer l'attaque dirigée vers sa hanche, mais tout cela n'était que feinte; sa rapière s'approchait vicieusement de sa main! Sa prise sur sl cimeterre faiblit comme il tentait de déformer son mouvement offensif ultérieur: heureusement, l'attaque d'Anacho n'atteint pas sa cible, mais plutôt le coup fit bondir sa lame de ses doigts et hors de porté. Zephyr, artiste, transforma par la suite son mouvement défensif en un mouvement offensif ingénieux, le haut-flanc de son adversaire pratiquement prit au dépourvu de toute défense. Ce n'était peut-être pas évident à déceler, mais ses yeux fins le percevait aisément.